Au lendemain des universités de rentrée

De nouveaux à vos côtés après notre séjour à Dourdan pour les « universités d’été de Debout la République  ». Nous y avons passés un agréable moment, riche d’enseignements, avec de mémorables rencontres notamment avec MMr Lefranc et Maillard, tous deux anciens collaborateurs du Général De Gaulle, mais aussi d’autres personnalités comme Mr Jean François Khan entre autres. Le discours de clôture de Nicolas Dupont Aignan nous a, à tous, redonner l’espoir en la France dans une autre Europe. Nous sommes à désormais prêt pour la future campagne électorale des Européennes de 2009. Nous permettrons aux millions d’électeurs qui votèrent « non » en 2005 de réformer l’Union Européenne… Ce sera une chance historique pour eux, et pour tous les Français de désavouer les élites de Droite comme de Gauche et de désigner des élus qui oseront revoir l’actuel système anti-démocratique européen. D’ici là, nous aurons à cœur de développer le programme pour nos futures listes aux européennes. Bien à vous…

PW

05/09/2008 12h21 GMT - PARTIS-DLR-UMP - Nouvelles de France - AFP

PARIS, 5 septembre 2008 (AFP) - Le député Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la République, a estimé vendredi que son ancien parti, l’UMP, est devenu "un non parti", "un organisme quasiment mort", tout comme le PS.

"Il n’y a plus de président de l’UMP, il est à l’Elysée le président de l’UMP", a déclaré M. Dupont-Aignan sur la radio BFM accusant Nicolas Sarkozy "de tout vouloir concentrer" entre ses mains.

"Il ne se passe plus rien, et surtout l’UMP est devenue un non parti, ce qui est assez grave d’ailleurs quand on voit que le PS aussi", a aussi affirmé le député de l’Essonne.

Les deux grandes formations "qui prétendent monopoliser la vie politique, et qui la monopolisent de fait, finalement sont en train de devenir des organismes quasiment morts", "des syndicats d’élus", a-t-il ajouté.

Selon M. Dupont-Aignan, "beaucoup de maires, de militants UMP nous rejoignent" car ils estiment qu’"il ne se passe plus rien à l’UMP", que "c’est devenu l’encéphalogramme plat".

Il a affirmé que, Debout la République, qui tient son université d’été ce week-end à Dourdan (Essonne) sur le thème "comment sortir de la régression économique et sociale", est sur le point d’atteindre "10.000 militants".

swi/szb/pta

© 1994-2008 Agence France-Presse

Contre ce scénario catastrophique, il n’y a pas d’autre alternative que de voter pour un parti qui prendra à bras le corps la défense des intérêts de la France et de ses citoyens. Il faudra voter massivement pour ce parti afin qu’il puisse disposer d’une représentation importante pour faire entendre la voix de la France. Ce parti devra être ancrer sur des valeurs fortes, aimer l’Europe mais en ayant pour elle projet  autre que celui de la destruction économique, culturelle et politique des peuples qui la compose. L’élaboration d’une Europe confédérale serait la première des solutions que se devra de préconiser ce parti. Il devra également être ouvert à toutes les sensibilités politiques (gauche, droite) afin de réaliser un objectif commun :

Une Autre Europe

 

                Une Europe plus juste, une Europe plus sociale, une Europe plus ambitieuse dans son développement, sa recherche technologique et scientifique,  une Europe en pointe dans le domaine des énergies renouvelables et de l’écologie. Une Europe en phase avec ses citoyens, une Europe respectueuse des spécificités de chaque nation qui la compose. Ce parti c’est : Debout La République. Avec Nicolas Dupont – Aignan, des femmes et des hommes restent convaincus que l’on peut faire bouger les choses en secouant un peu le parlement européen, en le tirant de sa torpeur, en l’extirpant d’une léthargie de 30 années… Ce sont eux qui se soumettent à vos suffrages aujourd’hui avec pour unique motivation l’envie de redonner à la France ce poids qu’elle avait jadis au sein de l’Union Européenne, et, également de construire cette nouvelle Europe avec le groupe européen  « alliance pour une Europe Démocratique »

 PW

Pour pouvoir aboutir à des solutions valables, il faut tenir compte de la réalité. La politique n’est rien d’autre que l’art des réalités. Or, la réalité, c’est qu’actuellement, l’Europe se compose de nations. C’est à partir de ces nations qu’il faut organiser l’Europe et, s’il y a lieu, de la défendre. Au lieu d’une fusion intolérable et impraticable, pratiquons l’association. En poursuivant des chimères, on a déjà perdu des années. (Discours du 25 février 1953)

Charles De Gaulle

Mais  ce qui fait  que ce parlement est inutile aujourd’hui , c’est avant tout sa composition, et avant tout la composition du groupe d’élus français au Parlement. La composition actuelle des élus français au parlement européen est la suivante :

Pour toute l’Union Européenne, ce seront 750 sièges qui seront à pourvoir. Notre représentation nationale sera revue à la baisse puisque nous aurons plus que 74 sièges soit un déficit de 4 sièges. Comme nous le voyons sur le tableau ci-dessus, avec 78 sièges la France était déjà très peu défendue par ses élus, aussi nous n’osons pas imaginer ce qui arrivera si la contingence française devait rester en l’état.

Si nous analysons le tableau ci dessus nous nous rendons tout de suite compte que les partis acquis à la communauté européenne telle qu’elle existe aujourd’hui, sont hyper – représentés. Ainsi, nous comptons 31 sièges pour le Parti Socialiste, 17 pour l’UMP, 11 pour la défunte UDF, 6 pour les Verts, soit un total 65 sièges pour les partisans d’une Europe fédérale inhumaine qui ont abandonnés leurs électeurs. Les anti-européen pur et dur sont au nombre de 7. Pour eux, l’Europe n’a pas lieux d’être ce qui ne les empêche pas de siéger en son parlement et d’y percevoir leurs indemnités d’élus malgré un taux d’absentéisme très élevé de leur part. Comment contester des directives européennes mauvaises pour la France quand on est pas présent ? Peut être est là la conception d’une politique de rejet de l’U.E. ainsi qu’ une méthode de défense des intérêts de leurs électeurs  au FN ? Toujours est – il que nous n’y voyons pas le bénéfice pour le citoyen et pour la France. Seul , reste 6 élus (3 PCF, 3 MPF) qui se prévalent d’une indépendance de la France vis à vis de Bruxelles. 6 c’est peu ! Ajoutez à cela qu’ils sont tous 2 diamétralement opposés sur tout et vous comprendrez dés lors pourquoi la voix de la France et si peu représentée au Parlement Européen.

 Voilà pourquoi en   juin 2009, il ne vous faudra pas voter à la légère. Si le résultat de 2009 reste en tout point semblable à celui de 2004, alors ce sera fini de la France car elle n’aura plus aucun poids sur les décisions prises par l’Union Européenne. UMP, PS ou UMPS (tant leurs visées européennes sont semblable), MoDem, Nouveau Centre (inféodé à l’UMP) continueront dans le fil de ce qu’ils ont déjà fait depuis 2005 : Rien ! Rien, pour ne pas déranger les instances Européennes et ses représentants (Junker, Barosso, Trichet …). Ils continueront leur entente cordiale sur le dos des Français. Le FN, sera toujours aussi zélé à défendre les Français en choisissant de siéger très peu au Parlement (juste assez pour percevoir leurs émoluments)… Quand aux 6 (PCF, MPF), ils continueront leur travail de sape réciproque contre l’intérêt des Français qu’ils sont censés défendre.